• ven. Oct 18th, 2024

2e édition de Vitrine mode : Marie Flore Oka remercie les Médias

Oct 16, 2024

Qualifiée de pari gagné, la 2e édition de Vitrine Mode  a été marquée par de nombreux remerciements des organisateurs. Après l’Eternel, lesdits remerciements sont allés pour la plupart à l’endroit des personnes morales et physiques. Celles  qui, de près ou de loin, ont contribué au succès de l’initiative depuis 2023. Au nombre de celles-ci, figure la presse, dont LE JOUR PILE.

« Avec cette deuxième édition, mon rêve se concrétise et je peux rendre gloire à Dieu. Depuis les différentes conférences de presse, les Médias qui nous ont accompagnés, sont témoins des difficultés que nous avons rencontrées. Je leur manifeste toute ma reconnaissance.», a déclaré Marie Flore Oka, l’initiatrice de Vitrine Mode. Ces paroles venues d’une femme, dont la foi a raisonné avec éloquence à l’intérieur de plus d’une oreille, tenaient lieu d’un véritable Trophée. Illuminant au plus prêt de nombreux cœurs, l’horizon lointain du regard de toute une rédaction : LE  JOUR PILE

     Une dame dévouée à la cause des talents cachés

Par sa sagesse et  la précision des mots, Marie Flore Oka s’est toujours illustrée comme une promotrice culturelle accomplie.  A travers sa  bienveillance, cette dame est dévouée à la cause des talents cachés. Elle  veille,  par sa perspicacité et son engagement inébranlable, à ce que chaque étoile en devenir, soit extirpée des ténèbres. Qu’elle soit ôtée de l’obscurité, dénichée et récupérée dans  l’abandon, en vue d’être honorée à la lumière, dans le  strict respect de la dignité humaine et sociale.

Commissaire générale de vitrine Mode,  Marie Flore Oka, incarne, au dire de tous, l’amour du prochain.  Son cœur  notoirement noble et sa vision éclairée sont autant d’atouts qui ont poussé l’Epace Jeckad à refuser du monde.  Que de tonnerres d’applaudissements, pour l’ancienne Top-modèle. Celle qui œuvre aujourd’hui pour l’avenir de toute une jeunesse: Marie Flore Oka, la  fine fleur de beauté, que tout peintre désir  immortaliser sur une toile vierge.

Perez Epée