Des acteurs de l’environnement planchent à Abidjan sur la question de la mobilité durable. Ce, dans le de la première édition du Salon Africain de la mobilité écologique et des technologies vertes innovantes (SAM-E). Un événement qui a ouvert ses portes le jeudi 30 mais 2024 au Palais de la culture de Treichville pour prendre fin le 1er juin prochain.
« La question de la mobilité durable est plus que jamais importante. Nous pouvons améliorer la qualité de vie de nos populations à travers des solutions de mobilités écologiques. Avec une population dynamique, une urbanisation rapide et une adoption croissante technologique, notre continent à l’opportunité unique de repenser ses infrastructures et ses modes de transport. », a estimé Djibril Silué, le commissaire général SAM-E. Selon lui, le SAM-E est une lucarne visant à développer des aspects pouvant remédier aux problèmes de l’environnement. Notamment au niveau des gaz à effet de serre, la pollution de ville. L’objectif étant de combattre le réchauffement climatique.
Le vice-gouverneur du District de Denguélé, Koné Alimata, a salué les différentes initiatives visant à répondre au besoin de la société. Elle a annoncé la mise en place, par le gouvernement ivoirien, de plusieurs projets issus du secteur privé et publics. « Ces projets entrent dans le cadre de la mobilité écologique. En attendant de multiplier les actions de sensibilisation, ils entreront en phase pratique dans les prochains jours. », a indiqué, Koné Alimata. Elle a représenté le ministre-gouverneur du District du Denguélé, Gaoussou Touré. Ladite cérémonie d’ouverture a connu la présence de nombreuses structures militantes pour la lutte contre la pollution, des étudiants et plusieurs personnalités dont le 4ème adjoint au maire de Treichville, Sébastien Kolliabo.
L’édition 2024 du SAM-E est placée autour du thème : « La problématique de la mobilité écologique en Afrique et la contribution des technologies vertes innovantes : Enjeux, défis et opportunités ». Selon les organisateurs, le rendez-vous vise à créer une plateforme d’échanges. Notamment entre tous les acteurs de l’écosystème des énergies vertes et renouvelables en Côte d’Ivoire. Ainsi que ceux engagés dans la lutte pour la protection de l’environnement.
Perez Épée