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SIREXE 2024 : les jeunes invités à saisir les opportunités du secteur minier

Le vice-président de la république de Côte d’Ivoire, Meyliet Koné, a invité les jeunes à saisir les opportunités offertes par les secteurs miniers, pétroliers et énergétiques.

Meyliet Koné, a lancé, en présence du chef de l’Etat Alassane Ouattara, ladite invitation à l’ouverture de la première édition du Salon international des ressources extractives et énergétiques (SIREXE). Un évènement prévu du mercredi 27 novembre au dimanche 1er décembre 2024 au Parc des expositions, sis à Port-Bouet- Abidjan Sud. Notamment autour du thème : « Développement durable des industries extractives et énergétiques : quelles politiques et stratégies ? ».

Le Vice-président a, à cette occasion, mis l’accent sur le rôle crucial des jeunes dans la transformation économique de l’Afrique.  En particulier à travers l’exploitation judicieuse des ressources extractives. Il a indiqué que le salon représente une plateforme majeure pour promouvoir la valorisation des ressources naturelles du pays, souvent sous-exploitées, selon lui. A l’en croire, lesdits secteurs représentent non seulement des leviers de croissance, mais aussi, des piliers fondamentaux du développement durable du continent.

Le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie, Mamadou Sangafowa-Coulibaly, a pour sa part exprimé sa gratitude envers le président Ouattara. Notamment pour avoir placé, a-t-il révélé, le secteur des ressources extractives et énergétiques au cœur de sa stratégie. Ce, en vue de faire de la Côte d’Ivoire un pays à revenu intermédiaire de classe supérieure d’ici 2030, a précisé le ministre.

Plus de 300 exposants ont pris part à ce premier rendez-vous du SIREX SIREXE qui a enregistré la participation de 1 500 délégués venus de plusieurs pays à travers le monde.

L’ambassadrice du Royaume de Norvège, Ingrid Mollestad, dont le pays est à l’honneur, pour sa gestion exemplaire des ressources naturelles, a encouragé les pays africains à s’inspirer de l’expérience de son pays. Aussi, a-t-elle souligné, à adapter ces pratiques aux spécificités locales.

Perez E.

 

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