Le gouvernement ivoirien a donné des détails des avancés en matière de santé, lors de l’ouverture du 1er Congrès de la biologie médicale ivoirienne(Cbmi). Un évènement qui s’est tenu du 5 au 6 septembre dernier au Radison Blu Hôtel d’Abidjan. Notamment sous le thème:« Déclaration de Mapouto de 2008, situation de la biologie médicale en Afrique ».
Pour Mme Assouan Chantal, le discours de Mapouto a été un moment clé pour réaffirmer des obligations. Notamment celles envers le développement de la santé en Afrique. Il s’est agi également, a-t-elle dit, d’aborder les défis spécifiques auxquels le continent est confronté. Mme Chantal Assouan est Conseillère technique du ministère de la Santé, de l’hygiène publique et de la Couverture maladie. Elle s’est exprimée au nom de Pierre Dimba. Le ministre dudit département ministériel, par ailleurs, président de l’évènement.
« C’est en ce sens que le gouvernement de la République de Côte d’Ivoire est pleinement engagé. Notamment à soutenir le développement sanitaire dans toutes ses composantes. Y compris la biologie médicale. Sous l’impulsion du Président de la République, son Excellence Alassane Ouattara, », a indiqué Chantal Assouan.
Selon Mme Assouan Chantal, la Côte d’Ivoire a récemment renforcé les financements. Ceux relatifs, a-t-elle précisé, à la formation, la recherche et amélioré les infrastructures des laboratoires. Nous travaillons également à promouvoir les partenariats entre les laboratoires privés et les organismes de santé. Aussi, le renforcement du cadre réglementaire, afin d’impliquer les différents acteurs du domaine des normes des spécialités.», a fait savoir Chantal Assouan.
L’objectif étant, a-t-elle souligné, de parvenir à trouver des solutions innovantes et durables en vue de bâtir un système de santé robuste et résilient, tout en soutenant les initiatives du ministère de la santé.
Tenu les 5 et 6 septembre derniers, le 1er Congrès de la biologie médicale ivoirienne a vu la participation des délégations venues de plusieurs pays dont la France, le Togo, le Mali, le Burkina Faso et le Sénégal.
Perez Epée