La conférence de presse qu’organise le Groupe de la Banque africaine de développement(Bad), se tient ce matin 3 avril 2024, à 10h (GMT), en présence du le Secrétaire général de l’ institution bancaire, Vincent Nmehielle.
Ladite conférence sera animée par le secrétaire général du Groupe de la Bad, Vincent Nmehielle, l’économiste en chef et vice-président chargé de la Gouvernance économique et de la Gestion des connaissances, Kevin Urama, ainsi que d’autres vice-présidents. Elle se déroulera, au siège de la Banque à l’immeuble CCIA, en présentiel et en visioconférence autour du thème : « Transformation de l’Afrique, Groupe de la Banque africaine de développement et réformes de l’architecture financière mondiale ».
Ledit thème a été choisi, selon les organisateurs, pour permettre aux Gouverneurs du Groupe de la Banque de partager leurs expériences sur les progrès réalisés par leurs pays respectifs. Notamment dans la transformation de leurs économies, les principaux obstacles rencontrés dans ce processus et les réformes clés entreprises pour les surmonter. Il leur offre, également, soulignent-ils, une excellente occasion d’exposer leur position face aux réformes proposées de l’architecture financière internationale. Aussi, celle de débattre de la manière dont le système financier mondial actuel a entravé le financement de leurs ambitions en matière de transformation structurelle.
Ladite conférence de presse est organisée en prélude aux Assemblées annuelles 2024 du Groupe de la Banque africaine de développement. Une rencontre prévue du 27 au 31 mai 2024 à Nairobi, au Kenya. Un événement le plus important du Groupe de la Banque africaine de développement. Celui-ci réunit environ 3 000 délégués et participants chaque année. Il permet à l’institution, à en croire les participants, de faire le point, avec ses actionnaires. Notamment sur les progrès réalisés au cours de l’année écoulée. Les Assemblées annuelles du Groupe de la BAD constituent un forum unique d’échanges. Relativement sur des questions clés concernant le développement de l’Afrique. Surtout pour les représentants des gouvernements, des entreprises, de la société civile. Aussi, pour des groupes de réflexion, des universités et les médias.
Perez Epée